Les attaquants : les positions

Dans un premier temps, le positionnement du corps peut jouer sur la manière dont le tir s’effectuera. Je vous conseil de tester plusieurs positionnement afin de trouver sa position idéale, c’est à dire celle qui permet d’être le plus à l’aise pour effectuer ses tirs principaux. Mais parfois, certains tirs secondaires sont plus agréables à réaliser dans une autre position, mais il vaut mieux éviter de changer de position en fonction du tir, ceci afin que l’adversaire ne puisse pas trop “lire” votre jeu offensif.
En ce qui concerne la tenue de la poignée (main fermée), je vous conseil de la saisir avec le poignet dans le prolongement de votre avant-bras, afin qu’il ne fasse pas de cassure et que vous puissiez le tourner dans un sens pour les amorces et dans l’autre pour les tirs. A l’instar du positionnement du corps, la main ne doit en aucun cas bouger par rapport à sa position originale afin de masquer votre jeu. C’est pour cela que, par exemple, une roulette doit être effectuée en faisant glisser sa main le long de la poignée et non en la lâchant pour la ressaisir par le dessous.

 

Les positions de départ

Il existe deux préparations de tirs distinctes, la préparation balle arrêté et, logiquement, la préparation avec la balle en mouvement.
Nous nous intéresserons dans un premier temps à la préparation au tir avec la balle arrêtée:

Départ au premier poteau (tir long)

C’est la préparation au tir la plus classique, elle permet de fixer la garde adverse (car si il n’y avais aucun joueur en face, la roulette passerai tout naturellement..) et de disposer de nombreuses possibilités de tir ,avec des modulations en terme de distance, d’angle et de vitesse.

Départ au centre de la cage (tir court)

Cette préparation au tir est, je pense, plus délicate que la précédente. La balle est au niveau du centre de la cage, ainsi les opportunités sont plus faibles en terme de distance (les tirs seront obligatoirement courts) et en terme d’angle. L’avantage réside dans le fait que nous pouvons tirer dans les deux sens (tirée ou poussée) et ainsi surprendre davantage le gardien. La balle étant arrêtée, le danger de roulette subsiste comme ça peut être le cas par exemple chez Ladbrokes si on fait la parallèle avec la roulette au casino.

Une fois que vous aurez acquis un certains bagage technique et que vous maîtriserez correctement les balayages une nouvelle préparation au tir s’offrira à vous, la préparation balle en mouvement :

Préparation balle en mouvement (long ou court)

Les opportunités en terme de distance, d’angle et de vitesse sont les mêmes qu’en balle arrêtée long ou court. La principale différence et que l’on ne fixe plus la garde adverse. Les roulettes sont pratiquement impossible en balayant (essayez, vous verrez !) d’ou l’inutilité pour la garde d’être fixe. Cet inconvénient peut néanmoins être compensé puisqu’on prend de l’avance sur la garde adverse du fait du mouvement de la balle. Mais attention, pour que cela soit efficace, le rythme de déclenchement du tir ne doit pas être très différent du rythme de déplacement de la balle (Telle est la difficulté !).